mercredi 15 décembre 2010

Bonnes fêtes et RDV le 13 janvier


Nous vous attendons le jeudi 13 janvier 19h45 pour notre soirée de rentrée. Pour vous permettre de bénéficier au mieux de l'esprit réseau, nous vous proposons une soirée "speed dating". Rassurez vos moitiés, il ne s'agit la que d'un speed dating interne qui permettra à chacune de mieux faire connaissance avec les autres membres, le tout sur un mode ludique.

Plus d'informations sur le lieu à venir.

D'ici là, nous vous souhaitions de très belles fêtes de fin d'année!!

mardi 16 novembre 2010

Compte rendu Soirée Débat et Networking "Entreprendre au Féminin" dans le cadre du World Entrepreneurship Forum




RETOUR EN IMAGES SUR LA SOIRÉE « ENTREPRENDRE AU FÉMININ »

Dans le cadre du World Entrepreneurship Forum, plusieurs réseaux professionnels féminins se sont mobilisés pour organiser une soirée débat et networking : "Entreprendre au féminin".

Deux tables rondes ont été organisées par Univers'Elles, Femmes Chefs d'Entreprises, Pionnières et Supplément Dame, en coopération avec l'EM Business School et avec le soutien d'ONLY Lyon.
  • Comment l'entrepreneuriat au féminin peut-il contribuer au développement durable ?
  • Les femmes créatrices de Bonheur National Brut (BNB) ?
Les deux tables rondes ont été animées avec brio par Corinne Lapras de Corpoé.


3 femmes d'exception ont ensuite conclu la soirée, avec énergie et enthousiasme.

Geneviève Morand, CEO Rezonance, Suisse nous a livré les clés du réseau : « osez demander à quelqu'un s'il ne connaîtrait pas quelqu'un qui ... », voilà la phrase à retenir.

Kah Walla, Fondatrice de Stratégies ! et candidate à la présidence au Cameroun, a expliqué important d'investir le pouvoir pour les femmes, et nous a montré comment développer la confiance en nous.

Lisa Fecteau, Présidente du groupement des chefs d'Entreprises du Québec, a incité les femmes à prendre des responsabilités à tous les niveaux.

Plus de photos sur le site Only Lyon: http://www.onlylyon.org/extranet/fiche_actu.php?id_article=632&id_version=1

mardi 19 octobre 2010

Quelle santé en Europe ? Rapport de la Conférence-débat du vendredi 1er octobre 2010,



Lutter plus efficacement contre les contrefaçons de médicaments, renforcer la surveillance des effets "indésirés", assurer une information fiable sur les médicaments : le Parlement européen travaille actuellement sur une série de directives qui visent à garantir aux citoyens européens l'accès à des médicaments sûrs et de qualité, grâce à des règles strictes au niveau de l'UE.

les intervenants

François-Xavier Vauchelle
représentant Françoise Grossetête, députée européenne de la circonscription Sud-Est, dont il est l'assistant et le conseiller en législation pharmaceutique

Vanina Laurent-Ledru
Présidente de l'association Univers'Elles, réseau de femmes actrices de la vie économique, politique et sociale.

Quelle santé en Europe ?


Alors que la moitié des lois en vigueur dans le domaine de la santé émane de Directives Européennes, le Bureau du Parlement se sent investi de la responsabilité d'informer la population au niveau local des décisions prises.
« A la fois patients et consommateurs, les personnes ont des droits qu'elles doivent connaître » déclare François Arnaud, chef du bureau d'information pour le Sud-est et animateur de la table-ronde, déplorant le manque de proximité entre l'Europe et les populations...européennes ! Parmi les « indispensables » lorsque l'on a la liberté de circuler dans 27 pays : la carte européenne d'assurance maladie pour une prise en charge et un remboursement immédiat des soins de santé dans tous les pays de l'Union. « Il est bon de voyager en Europe avec sa carte de santé européenne » témoigne un utilisateur averti dans le public, qui met toutefois en garde l'assistance des délais pour l'obtention de la dite carte auprès des organismes de sécurité sociale ....et donc l'anticipation nécessaire lorsque l'on souhaite voyager.
Sur le volet des soins transfrontaliers, le développement de la télémédecine repose sur les nouvelles technologies accompagnées de logiciels informatiques pour la réalisation de soins à distance, ainsi que la traduction des spécialistes étrangers dans la langue du patient. « L'Union Européenne œuvre à fournir les informations nécessaires dans toutes les langues et prône l'accès à une plate-forme d'information contrôlée au niveau européen » note F. Arnaud.

Par ailleurs 200 000 décès par an étant à déplorer en Europe des suites d'effets secondaires des médicaments, une pharmacovigilance renforcée et un travail à base de données communes collectées plus rapidement et plus efficacement devrait permettre de sauver 600 à 6000 vies par an en Europe.
Un problème d'actualité : les médicaments de contrefaçon, avec un chiffre qui a quintuplé depuis 2005, « portant à 35 millions le nombre de cachets falsifiés saisis aux frontières ....destinés à infiltrer les filières légales» précise F. Arnaud. Une meilleure traçabilité au niveau européen et un contrôle renforcé de la fabrication de médicaments à l'étranger par des sociétés tiers s'impose donc !

Selon Vanina Laurent-Ledru, un moyen de lutte essentiel contre la contre-façon doit être d'empêcher le reconditionnement des médicaments. « Lorsque les comprimés partent des usines, ils sont l'objet de toute une série d'étapes de reconditionnement qui les mène jusqu'au marché dans des emballages différents » rappelle t-elle, alertant quant aux nombreuses opportunités de fraude tout au long de la chaîne. Les conséquences sont évidemment graves : « 700 000 décès attribués au paludisme et à la tuberculose ont été recensés parmi des personnes qui prenaient pourtant le traitement adapté » cite t-elle en exemple, démontrant qu'il s'agissait de traitements falsifiés.
Sachant par ailleurs que le coût de mise sur le marché d'un seul médicament est de un milliard de dollars (intégrant la recherche, les essais cliniques, les dossiers règlementaires, et donc le personnel afférent) l'industrie pharmaceutique se mobilise dans la mise en place de centres de lutte anti-contrefaçon. « Quelques pays comme la Turquie, la Belgique, la Grèce et l'Italie ont mis en place un système de codification par hologrammes » salue t-elle .... Déplorant toutefois qu'il y ait 4 systèmes différents pour 4 pays ! « Il faut une approche européenne commune aux 27 pays, car les coûts générés par 27 systèmes différents sont impossibles à prendre en charge par l'industrie pharmaceutique » affirme t-elle.

A la question « que fait l'Union Européenne pour se prémunir des médicaments de contrefaçon ?», François-Xavier Vauchelle répond que la protection passe avant tout par le réseau d'officines qui dispensent les produits sous prescription. « L'Union Européenne essaie de mettre en place des dispositifs sécurisés tout au long de la chaîne d'approvisionnement » affirme t-il, sachant que les filières mafieuses et criminelles essaient de s'adapter à une offre mondiale diversifiée. Selon lui la contrefaçon des médicaments tend à évoluer, dans le sens où si elle concernait auparavant des produits comme le Viagra, elle touche aujourd'hui autant les vaccins que les médicaments pour les maladies cardio-vasculaires. « Le chiffre de saisie augmente dramatiquement depuis 2 ou 3 ans » déclare t-il, rappelant que la députée Françoise Grossetête est rapporteur entre autres pour les dossiers « médicaments falsifiés » et « mobilité des patients dans l'Union Européenne ». Concernant ce dernier l'objectif est d'établir un cadre juridique clair pour le remboursement des soins transfrontaliers. « Le rapport présenté le 29 septembre dernier stipule que le Parlement a à charge de proposer une Directive permettant l'accès aux traitements proposés dans l'ensemble des pays de l'Union » révèle FX Vauchelle.

Enfin, sur le volet information des patients, Parlement et Industrie s'accordent à vouloir soutenir une information encadrée et fiable pour une meilleure observance des traitements. « Nous travaillons beaucoup sur les notices qui sont une composante de la prévention, mais il nous faut adopter une seule définition d'un effet indésirable, et non 27 interprétations différentes ! » souligne V. Laurent-Ledru.
Consensus autour du principe de précaution : la vraie question est de savoir quel est le degré de l'opinion publique quant à l'acceptation du rapport bénéfices / risques. Une question que peut et doit se poser tout un chacun !

rédigé par Nathaly Mermet, journaliste scientifique et médicale de Biotech info.


Plus d'infos sur: les midis du PE

Soirée Commission Politique avec Azouz Begag 17 novembre 2010


La Commission Politique de l'association recevra Azouz Begag, personnalité médiatique, politique, universitaire et littéraire..bref tout un programme!

D'origine algérienne, Azouz Begag est né en France dans la banlieue lyonnaise en 1957. Il possède un Doctorat en économie de l'université Lyon 2 et mène de front trois carrières: romancier, sociologue et politicien.

Chercheur au CNRS et à la Maison des Sciences Sociales et Humaines de Lyon depuis 1980, il est spécialiste en socio-économie urbaine: son travail porte largement sur la mobilité des populations immigrées dans les espaces urbains.

Azouz Begag a publié une vingtaine de livres dont la plupart ont pour sujet les différents problèmes auxquels sont confrontés les jeunes d'origine maghrébine, pris entre deux cultures aussi bien qu'entre tradition et modernisme: pauvreté, racisme, chômage, auto-destruction, désespoir. Vous sans doute lu ou entendu parler de son premier livre: Le Gone du Chaâba, Éditions du Seuil, Collection Points Virgule, (1986)

Il a été ministre délégué à la promotion de l'égalité des chances du 2 juin 2005 au 5 avril 2007 sous le gouvernement Dominique de Villepin, fonction qu'il quitte afin de prendre une part active dans la campagne présidentielle de François Bayrou. Il perd les législatives de 2007 et les Régionales de 2010 avec un score de 4% en Rhône-Alpes.
Le 21 juin 2010, Azouz Begag rejoint le mouvement de Dominique de Villepin, République solidaire.

mardi 12 octobre 2010

Soirée Débat & Networking « Entreprendre au féminin » 5 novembre 2010 - Hôtel Lyon Métropole

Dans le cadre du World Entrepreneurship Forum, plusieurs réseaux professionnels féminins se mobilisent pour promouvoir l’Entrepreneuriat au Féminin.

Univers’Elles, Femmes Chefs d’entreprises, Pionnières, Supplément Dame, s’associent à EMLYON Business School et ONLYLYON pour vous inviter à une soirée « ENTREPRENDRE AU FÉMININ ».

Au programme, deux tables rondes animée par Corinne LAPRAS ( Corpoé) :
  • ØComment l'entrepreneuriat au féminin peut -il contribuer au développement durable ?
  • Les femmes créatrices de Bonheur National Brut ?
Programme :
  • 18h00 : Accueil
  • 18h15-20h : Deux tables rondes sur les thématiques « Bonheur National Brut » & « Développement Durable »
  • 20h00 – 20h30 : Echange avec les membres du Think Tank
  • 20h00: Soirée Networking

Lieu :
Hôtel Lyon Métropole
85, Quai Joseph Gillet
69004 Lyon

Inscriptions ici

jeudi 29 juillet 2010

Bonnes vacances et RDV le 30 septembre


universElles vous souhaite un bel été!!

Réservez la date du 30 septembre pour la prochaine soirée sur le thème de la santé dans les pays en voie de développement et le rôle joué par les femmes.


Intervenant: Jean-François Delavison, président de Bioforce (école de management humanitaire) et président d'Ahimsa partners.


Jean-François worked on the international level for Institut Mérieux for 29 years, and held several international positions. He took part in the international development of the group, in Europe, Asia, Africa and Latin America. Since January 2004, he has been the Corporate Vice President of the Holding Company, Institut Mérieux in charge of Global Health and International Affairs. He decided, last January to launch his own company Ahimsa Partners. Through innovative models and the engagement of new leader generations, Ahimsa Partners will empower the people in the developing world to allow them to participate in their own development, the one of their countries, using healthcare partnerships and bringing the different actors in the field of Healthwith the challenge to bridge the world.


During the last five years, he has been President of the European Diagnostics Manufacturers Association (EDMA,) the European organization representing the In Vitro Diagnostics industry in the major countries of Europe.

At the same date, Jean-François joined the Stop TB Partnership as Board Member, representing the Private Sector. He has recently been elected member of the Executive Committee of the Partnership. This initiative, hosted by the World Health organization comprises a network of more than 500 international organizations, countries, donors from the public and private sectors, and nongovernmental and governmental organizations.He is member of the International Committee of the UK Academy of Medical Sciences. He recently joined the WHO/TDR Expert Committee on Diagnostics for developing countries.


Since June, 2008, he has been President of Bioforce Institute: a Human Resources Management organization working with NGOs on humanitarian actions.He is involved in many different projects with some famous international Business Schools on the approach of working with the "bottom of the worldwide pyramid population" and "social business". http://www.bioforce.asso.fr/

Specialties
His international experience in developed and developing countries gives him strong skills in the fight against infectious diseases throughout the world and a strong commitment to respond to urgent needs from emerging countries

UniversElles et le Parlement européen: RDV 1er Octobre 2010 à12h30


universElles vous invite à participer à un déjeuner-conférence organisé par le Parlement européen à Lyon sur le thème de la santé des citoyens. Vous pourrez y retrouver Mme Françoise Grossetête, députée européenne pour la région Rhône-Alpes qui avait inauguré la toute 1ere soirée universElles!


Les "midis du Parlement européen" sont un cycle de conférences/débats organisés à l'heure du déjeuner dans toutes les grandes villes de France, sur un sujet lié à l'actualité législative européenne. http://www.lesmidis.eu/

"Qualité des médicaments et droits des patients en Europe : le point sur la nouvelle législation"

Contexte:
Lutter plus efficacement contre les contrefaçons de médicaments, renforcer la surveillance des effets "indésirés", assurer une information fiable sur les médicaments : le Parlement européen travaille actuellement sur une série de directives qui visent à garantir aux citoyens européens l'accès à des médicaments sûrs et de qualité, grâce à des règles strictes au niveau de l'UE.

Pour vous répondre: Mme Françoise Grossetête, députée européenne pour la région Rhône-Alpes, membre de la commission parlementaire pour la santé publique, Présidente de l'Alliance européenne de lutte contre la maladie d'Alzheimer, et rapporteure au Parlement européen sur les droits des patients transfrontaliers et les autorisations de mise sur le marché des médicaments.

Le lieu : Cap Culture Santé, place du 11 Novembre, Lyon 8ème : http://www.capculturesante.org/index.php?aff=espace

Date/heure : vendredi 1er octobre, 12h30 - 14h. Débat modéré par Vanina Laurent-Ledru

Pour vous inscrire: par e-mail sur epmarseille@europarl.europa.eu ainsi que par téléphone : 04 96 11 52 90

Plus d'informations sur le "paquet pharmaceutique" : http://ec.europa.eu/health/human-use/package_en.htm

mercredi 21 juillet 2010

universElles à Montréal/ Canada




universElles, representé par Vanina Laurent-Ledru, a participé à la conférence internationale sur le cancer du col de l'utérus à Montréal. Vanina a parlé du rôle des associations de la société civile dans la santé et particulièrement de l'implication des groupes de femmes dans la mobilisation contre cette maladie. Elle a aussi tiré des parallèleles avec l'implications des ONG dans la lutte contre le SIDA et a conclu en appelant à la mobilisation de tous les acteurs, au-delà de la société civile.


Cette session était organisée par WACC (Women Against Cervical Cancer) , qui est une plateforme d'associations actives dans la prévention du cancer du col de l'utérus, avec la participation de l'Organisation Mondiale de la Santé (OMS) et de représentantes d'associations de la société civile.



Allez voir par exemple en cliquant là le petit film réalisé par l'association estonienne EMAKAS pour attirer l'attention sur la prévention du cancer du col de l'utérus...édifiant!


La présentation "What can we learn from civil society? What HPV can learn from HIV (education, advocacy & prevention)? And vice versa" est disponible sur ce lienhttp://hpvmedia3.org/hpv2010/done9yp01adw883/WACC/WACC_Laurent/WACC_Laurent.html

dimanche 4 juillet 2010

World Entrepreneurship Forum Junior- universElles grand témoin


universElles est venue à la rencontre des étudiants et jeunes entrepreneurs du World Entrepreneurship Forum Junior le 3O juin à Lyon pour aborder les problématiques liées à l'entrepreneuriat chez les femmes.

Vanina Laurent, présidente d'universElles, a representé l'association, pour parler de nos réflexions communes sur la conciliation vie professionnelle, vie privée. Ce fut une après midi très enrichissante, à la rencontre des forces vives de demain! Beaucoup d'attentes et beaucoup de questions, partagées tant par les jeunes hommes que les jeunes femmes....ce qui est une grande avancées, n'est ce pas?!


Vous trouverez ci-joint quelques-unes des photos qui ont été prises pendant les ateliers, sur le site http://junior-world-entrepreneurship-forum.e-monsite.com/

Background:
Ce Forum est une déclinaison du World Entrepreneurship Forum lancé en 2008 par EMLYON Business School et KPMG afin de promouvoir de nouvelles idées et d'encourager ainsi l'entrepreneuriat à l'échelle mondiale.Le World Entrepreneurship Forum, qui se tient chaque annnée en Novembre, rassemble une centaine de membres issus des cinq continents qui, après trois jours de débats et de réflexion, publient un Livret Blanc, transmis ensuite par les membres dans leur pays d'origine.

De façon similaire, les participants au Forum Junior livreront leurs conclusions aux membres du World Entrepreneuship Forum.

A noter: universElles co organise avec Actionelles et Femmes Chef d'Entreprise et en partenariat avec ONLY LYON et l'EM Lyon Business School, une conférence suivie d'un cocktail Networking au féminin pendant le World Entrepreneuship Forum.

DATE: 5 novembre 2010 à partir de 18h00 à l’hôtel Lyon Métropole 85 Quai Joseph Gillet - 69004 LYON


Vous pourrez participer à 2 tables rondes sur ces thématiques :
- Bonheur National Brut (proposé par Actionelles - Slaire Saddy)
- Développement durable (proposé par universElles- Vanina Laurent)


A SUIVRE, nous vous tiendrons informées bien sur!!

vendredi 11 juin 2010

Soirée Commission Politique 8 juillet 2010


Nous aurons le plaisir de recevoir George FENECH, magistrat, homme politique et président de la Miviludes, Mission interministérielle de vigilance et de lutte contre les dérives sectaires.
G. Fenech viendra nous parler du métier de magistrat et de sa lutte contre les sectes.

Pour une mise en bouche allez voir
http://www.dailymotion.com/video/xbewm9_georges-fenech-president-de-la-mivi_news

lundi 17 mai 2010

Speed dating d'été 3 juin


Nous vous convions à la prochaine soirée qui se tiendra le jeudi 3 juin.


Puisque nous avons bien grossi (et la pas besoin de rentrer dans le maillot pour l'été), nous avons souhaité mettre en place une soirée speed dating, qui permettra à chacun de mieux faire connaissance avec les autres membres, le tout sur un mode ludique. Le chrono sera de sortie!


A très bientôt

vendredi 16 avril 2010

Photos Soirée Commission Management du 4 mars


Et voici quelques clichés de la soirée, où nous recevions Frédérique Girard-Ory, PDG du groupe Dermscan.
Merci à Marie-Christine, promue photographe officielle à cette occasion!























La prochaine soirée est en cours d'organisation pour fin mai, nous vous tiendrons au courant.





lundi 22 février 2010

Equilibre vie perso et vie pro- Le stress des femmes cadres


Vous trouverez ci dessosu un article de l'Expansion sur "Le stress des femmes cadres". l'une de nos membres, Tessa Melkonian, professeur Associé de Management et Ressources Humaines, EMLYON Business School, y donne des conseils. universElles est mentionné par ailleurs.



L'Expansion.com - 16/02/2010 11:27:00

Combiner ambition professionnelle et vie familiale, un vrai "combat" au quotidien pour les femmes! Les solutions pour gérer le stress au féminin, par Tessa Melkonian, professeur Associé de Management et Ressources Humaines, EMLYON Business School.


Les femmes sont plus touchées par le stress au travail que les hommes. Les premières raisons avancées sont la surcharge de travail (80% de la charge afférente au management de la famille reste portée par la femme), les hormones (les oestrogènes rendraient les femmes plus sensibles que les hommes à certaines variations de leur environnement) et le fameux plafond de verre qui fait qu'aujourd'hui il y a toujours aussi peu de femmes au sommet des entreprises (moins de 9% de femmes dirigeants dans les entreprises de plus de 250 salariés contre 18,9 % dans les entreprises de moins de 10 salariés). Les symptômes du stress aussi sont différents au féminin (car toujours liés aux hormones) avec principalement : maux de têtes, problèmes gynécologiques, anxiété et dépression (avec un taux deux fois plus élevé que chez les hommes).

Alors que doivent faire les femmes ? Ranger leur blackberry et leurs responsabilités et endosser uniquement leur tablier afin de préserver leur santé ?

Surtout pas ! Car les études ont montré que les femmes qui travaillent restent malgré tout en meilleure santé que celles qui ne travaillent pas : d'un point de vue physique (moins de jours de maladie), psychologique (un plus grand sentiment de satisfaction global) et familial (une plus grande résilience face au stress lié à la vie de famille). Et si elles ont plus de symptômes que les hommes, ils sont moins mortels et leur espérance de vie est toujours supérieure ! Enfin, plus les femmes gravissent les échelons dans l'entreprise et mieux elles sont à même de gérer leur stress car elles disposent de plus de marge de manoeuvre et de ressources. Pour être en bonne santé, il faudrait donc plutôt continuer à travailler (si cela correspond à ses envies bien sûr), gravir progressivement les échelons et apprendre à mieux gérer son stress au cours de ce chemin semé d'embûches qu'est la carrière au féminin !

En fonction des études les plus récentes, voici 7 conseils qui peuvent s'avérer utiles pour mieux gérer son stress au féminin :

Choisir, autant que possible, une entreprise qui favorise la carrière des femmes : les pratiques organisationnelles en matière de carrière des femmes peuvent être radicalement différentes d'une entreprise à l'autre. Dans certaines, la maternité -et a fortiori le temps partiel ou congé parental- sont perçus comme des signaux de « fin de carrière » et peuvent être suivis de remarques négatives et/ou d'une « placardisation ». Pour d'autres, par contre, la question de la diversité est abordée et des possibilités de d'évolution de carrière sont offertes aux femmes qui ont des enfants et bénéficient d'aménagements de leur temps de travail. L'identification de telles entreprises est donc un enjeu critique pour les femmes qui souhaitent développer (suffisamment) sereinement leur carrière professionnelle et familiale. Des critères tels que l'existence de politiques d'égalité des chances, l'absence de réunions après 18h et/ou le nombre de femmes au comité de direction peuvent être de bons indicateurs.

Faire de l'équilibre vie privée - vie professionnelle une priorité : souvent cause de stress, la perte de l'équilibre entre vie privée et vie professionnelle fragilise les femmes en leur autant une partie de leurs ressources et en augmentant leur sentiment de culpabilité à l'égard de leur famille et de leur entreprise. Dans le choix de leur environnement professionnel (cf. conseil 1) et dans la gestion de leur temps, les femmes ont tout intérêt à poser comme prioritaires un certains nombres de temps de nature privée et professionnelle dans leurs agendas, et à apprendre à dire non pour les activités non-prioritaires qui pourraient compromettre cet équilibre.

Continuer à développer ses compétences et ne pas renoncer trop vite à son ambition professionnelle : si femmes ont toujours le désir de travailler mais rencontrent des difficultés du type plafond de verre, stéréotypes ou harcèlement suite à leur maternité (augmentant souvent avec le nombre d'enfants et le choix d'un temps partiel), elles ont tout intérêt à considérer l'option d'un changement d'organisation (cf. conseil 1) ou de statut (voir le nombre croissant de femmes qui entreprennent après leurs enfants) plutôt que de renoncer définitivement à leur ambition professionnelle. Dans ces périodes de doute, se faire accompagner peut être déterminant (cf. conseils 4 et 5).

Trouver une « marraine » qui ouvre la voie, conseille et soutienne dans les moments difficiles : en externe ou en interne à l'entreprise, à l'instar d'un mentor dans les entreprises anglo-saxonnes, identifier une femme qui a su combiner carrière et vie de famille peut permettre de considérer la problématique de la double carrière professionnelle et familiale autrement, de trouver de nouvelles solutions en cas de situation difficile ou encore de prendre patience à certains moments.

Participer à des réseaux féminins : pour les femmes qui ont déjà des difficultés d'agenda entre leur vie professionnelle et leur vie privée, l'idée même de consacrer du temps supplémentaire à une activité de réseau est souvent stressante. Pourtant, faire partie d'un réseau féminin qui prenne en compte les contraintes de femmes offre des occasions d'échanges, de rencontres et d'apprentissages très utiles pour mieux gérer les conflits inhérents à la double carrière professionnelle et familiale. Il existe différentes types de réseaux, depuis certains très orientés business et/ou entrepreneuriat (comme Women's Forum, Dirigeantes sur Paris ou Action'elles sur Lyon), vers d'autres plutôt orientés rencontres et échange de bonnes pratiques, avec une dimension internationale très intéressante (Grandes Ecoles au Féminins ou Univers'elles sur Lyon).
S'entourer au maximum : on sait aujourd'hui que le soutien social joue un rôle majeur dans la gestion du stress. Pouvoir trouver du soutien de nature logistique (déléguer autant que possible les tâches non stratégique à la maison et au travail), amical, professionnel et/ou émotionnel procure des ressources vitales en situation de stress. Bien que ce soit coûteux en termes de temps et d'énergie, les femmes ont donc tout intérêt à continuer à « cultiver » leur entourage familial, amical et professionnel.

Maintenir un minimum d'activité physique : faire de l'exercice permet de mieux gérer le stress physiquement (régulation du rythme cardiaque et dépense de l'énergie nerveuse accumulée), et moralement (via la sécrétion d'endorphines notamment). Même réduit à son minimum (s'arrêter une station de métro avant le travail ou monter ses escaliers à pied), l'exercice physique ressource et développe la résistance au stress.

Soirée Commission Management/ 4 Mars

Elargir nos horizons, grâce à des rencontres avec des personnalités féminines marquantes du monde de l’entreprise, c’est un des objectifs que s’est fixé la Commission Management.
La soirée du jeudi 4 mars prochain s’inscrit parfaitement dans cette « tradition ».

Nous aurons le privilège d’avoir parmi nous, Frédérique Girard-Ory, PDG du groupe Dermscan.





Nous avons prévu de solliciter pour vous et avec vous cette femme dynamique, au fort tempérament, qui dirige avec succès une firme du secteur des biotechnologies, implantée dans le campus scientifique de pointe de Villeurbanne, la Doua.

Pour vous :

1-Nous aborderons avec elle ce qui a déterminé son orientation vers les biotechnologies et les essais cliniques en particulier, ce qu’est son entreprise aujourd’hui, comment elle a relevé le défi de diriger cette entreprise.

2-Nous chercherons à comprendre comment elle intègre le poids croissant de la réglementation (censée protéger les consommateurs et assurer une éthique satisfaisante) et la nécessité d’offrir constamment une offre de services compétitive sur les marchés internationaux.

3-Dermscan s’internationalisant, nous lui demanderons comment, une firme lyonnaise relève les défis de l’internationalisation de ces processus.

Et puis, parce que c’est une femme, nous voudrions la faire réagir sur ce que signifie « manager au féminin », sur la place des femmes dans son organisation et dans les organisations en général.

Avec vous : Parce que « Commission » Management est un bien grand mot, nous sommes sûres qu’avec les quelques thèmes ci-dessus et les quelques liens ci-dessous, vous viendrez aussi avec des questions plein la tête pour notre invitée d’un soir.

http://www.dermscan.com/
Déclaration d'Helsinki http://fr.wikipedia.org/wiki/D%C3%A9claration_d'Helsinki

Catalyst report on Fortune 500 Board of Directors
http://www.catalyst.org/

A très bientôt.

la Commission Management


PS : pour accroître encore votre curiosité, sachez-que la soirée se passera au restaurant « Les lulus », 3 petite rue des petits feuillants, en bas des Pentes près de l’Opéra. Parking Tolozan ou Opéra

Début 19h45.

mardi 5 janvier 2010

Women and work: We did it!


An article from The Economist print edition.


"The rich world’s quiet revolution: women are gradually taking over the workplace








AT A time when the world is short of causes for celebration, here is a candidate: within the next few months women will cross the 50% threshold and become the majority of the American workforce. Women already make up the majority of university graduates in the OECD countries and the majority of professional workers in several rich countries, including the United States. Women run many of the world’s great companies, from PepsiCo in America to Areva in France.

Women’s economic empowerment is arguably the biggest social change of our times. Just a generation ago, women were largely confined to repetitive, menial jobs. They were routinely subjected to casual sexism and were expected to abandon their careers when they married and had children. Today they are running some of the organisations that once treated them as second-class citizens. Millions of women have been given more control over their own lives. And millions of brains have been put to more productive use. Societies that try to resist this trend—most notably the Arab countries, but also Japan and some southern European countries—will pay a heavy price in the form of wasted talent and frustrated citizens.

This revolution has been achieved with only a modicum of friction (see article). Men have, by and large, welcomed women’s invasion of the workplace. Yet even the most positive changes can be incomplete or unsatisfactory. This particular advance comes with two stings. The first is that women are still under-represented at the top of companies. Only 2% of the bosses of America’s largest companies and 5% of their peers in Britain are women. They are also paid significantly less than men on average. The second is that juggling work and child-rearing is difficult. Middle-class couples routinely complain that they have too little time for their children. But the biggest losers are poor children—particularly in places like America and Britain that have combined high levels of female participation in the labour force with a reluctance to spend public money on child care.



Dealing with the juggle
These two problems are closely related. Many women feel they have to choose between their children and their careers. Women who prosper in high-pressure companies during their 20s drop out in dramatic numbers in their 30s and then find it almost impossible to regain their earlier momentum. Less-skilled women are trapped in poorly paid jobs with hand-to-mouth child-care arrangements. Motherhood, not sexism, is the issue: in America, childless women earn almost as much as men, but mothers earn significantly less. And those mothers’ relative poverty also disadvantages their children.

Demand for female brains is helping to alleviate some of these problems. Even if some of the new theories about warm-hearted women making inherently superior workers are bunk (see article), several trends favour the more educated sex, including the “war for talent” and the growing flexibility of the workplace. Law firms, consultancies and banks are rethinking their “up or out” promotion systems because they are losing so many able women. More than 90% of companies in Germany and Sweden allow flexible working. And new technology is making it easier to redesign work in all sorts of family-friendly ways.

Women have certainly performed better over the past decade than men. In the European Union women have filled 6m of the 8m new jobs created since 2000. In America three out of four people thrown out of work since the “mancession” began have been male. And the shift towards women is likely to continue: by 2011 there will be 2.6m more female than male university students in America.



The light hand of the state
All this argues, mostly, for letting the market do the work. That has not stopped calls for hefty state intervention of the Scandinavian sort. Norway has used threats of quotas to dramatic effect. Some 40% of the legislators there are women. All the Scandinavian countries provide plenty of state-financed nurseries. They have the highest levels of female employment in the world and far fewer of the social problems that plague Britain and America. Surely, comes the argument, there is a way to speed up the revolution—and improve the tough lives of many working women and their children?

If that means massive intervention, in the shape of affirmative-action programmes and across-the-board benefits for parents of all sorts, the answer is no. To begin with, promoting people on the basis of their sex is illiberal and unfair, and stigmatises its beneficiaries. And there are practical problems. Lengthy periods of paid maternity leave can put firms off hiring women, which helps explain why most Swedish women work in the public sector and Sweden has a lower proportion of women in management than America does.

But there are plenty of cheaper, subtler ways in which governments can make life easier for women. Welfare states were designed when most women stayed at home. They need to change the way they operate. German schools, for instance, close at midday. American schools shut down for two months in the summer. These things can be changed without huge cost. Some popular American charter schools now offer longer school days and shorter summer holidays. And, without going to Scandinavian lengths, America could invest more in its children: it spends a lower share of its GDP on public child-care than almost any other rich country, and is the only rich country that refuses to provide mothers with paid maternity leave. Barack Obama needs to measure up to his campaign rhetoric about “real family values”.

Still, these nagging problems should not overshadow the dramatic progress that women have made in recent decades. During the second world war, when America’s menfolk were off at the front, the government had to summon up the image of Rosie the Riveter, with her flexed muscle and “We Can Do It” slogan, to encourage women into the workforce. Today women are marching into the workplace in ever larger numbers and taking a sledgehammer to the remaining glass ceilings."

http://www.economist.com/displayStory.cfm?story_id=15174489&source=most_commented